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  • LA CHEVROLET CORVETTE 2017 EST UN VÉRITABLE ORGASME MÉCANIQUE

    • Le samedi, 22 juillet 2017
    • Dans gm

    La Chevrolet Corvette n’est pas une voiture qui fait l’unanimité.

    Véritable objet de désir pour certaines personnes, elle n’est qu’un jouet pour vieux riches pour bien des gens. Vous connaissez tous la fameuse expression. Grosse Corvette...

    Ceux qui disent ça n’ont jamais pris le volant d’une Corvette. Parce qu’au moment où vous prenez place à bord de ce bolide, c’est là que vous comprenez qu’au fond, vous n’avez jamais rien compris.

    Non, les propriétaires de Corvette ne sont pas que de baby-boomers qui ont besoin d’une grosse voiture pour remonter leur estime. Ce sont d’abord et avant tout des amateurs de performances qui ont compris qu’ils ne trouveront jamais un véhicule de ce calibre à un prix aussi bas ailleurs sur le marché.

     

    Grosse Corvette, petite facture

    La performance à petit prix. La Chevrolet Corvette, depuis plus de 60 ans, ç’a toujours été ça. Et même si la voiture a changé du tout au tout depuis ses débuts en 1953, un fait demeure. La Corvette offre beaucoup de performances pour un prix dérisoire.

    Bon, le mot dérisoire est peut-être exagéré, j’en conviens. À 67 145 $, la Corvette n’est pas pour tout le monde. Sauf que pour un bolide qui propose une puissance et une tenue de route comparables à celles d’une Ferrari, difficile de trouver mieux ailleurs. Impossible, en fait.

     

    Cherchez où vous voulez, une voiture de ce calibre à ce prix, il n’y en a pas. Certes, vous pouvez vous procurer une Dodge Challenger Hellcat pour une facture similaire. Vous aurez une puissance brute supérieure, mais c’est à peu près ça. Sur circuit, c’est le jour et la nuit.

    Surtout quand vous optez pour la Grand Sport, une version mythique de la Corvette que Chevrolet a brillamment renouvelé pour 2017. Grâce à une charpente allégée jumelée à un puissant moteur V8 de 6,2 litres, la Grand Sport 2017 n’a pas grand chose à envier aux meilleures voitures sport de la planète. Ses 460 chevaux et 465 livres-pied de couple lui permettent de passer de 0 à 96 km/h en 3,6 petites secondes.

     

    Au-delà des chiffres, la Corvette est dotée d’un centre de gravité ridiculement bas qui lui permet de négocier chaque courbe comme une vraie voiture de course. De quoi faire jubiler n’importe quel amateur de performances. 

    Et si vous en voulez encore plus, il y a toujours la Z06, forte d’un moteur surcompressé développant 650 chevaux. Avec un prix sous la barre des 100 000$ et une accélération de 0 à 96 km/h en 2,95 secondes, les chiffres parlent d’eux-mêmes.

     

    Intimidant, tout simplement

    Intimidant. C’est le meilleur mot pour décrire mes premiers moments vécus à bord de la Corvette Grand Sport 2017.

    La voiture est large, et chaque petit terre-plein nous fait craindre d’accrocher ses magnifiques bas de caisse en fibre de carbone. Le genre d’accessoire qui est bien joli, mais qui coûte un bras et une jambe à remplacer...

    À bord, on a l’impression de se retrouver dans un jet de l’armée américaine, avec cet habitacle centré vers le pilote et un affichage tête haute projetant quelques informations à même le pare-brise du véhicule. Je me serais bien passé des teintes bleutées de l’habitacle de mon véhicule d’essai, mais pour le reste, c’est un sans faute.

     

    Les premiers kilomètres en Corvette, je les ai parcourus avec des souliers de soie, soucieux d’apprendre à dompter la bête avant de libérer tout ce qu’elle a dans le ventre.

    Et pourtant, après quelques coins de rues, j’ai réalisé que l’intimidante Corvette n’a rien de bien méchant. Certes, ses 460 chevaux et sa boîte manuelle à sept rapports (!) sont à prendre avec des pincettes. Sauf que la Corvette, avec le temps, s’est beaucoup civilisée.

    En peu de temps, on devient à l’aise derrière son volant. Confiant, même. Parce qu’avec une direction précise comme un couteau suisse et un freinage carrément violent, la Corvette est la voiture idéale pour éviter les obstacles de la route. Et vous êtes aussi bien de les éviter, parce que frapper un nid-de-poule avec une suspension aussi ferme, ce n’est pas joli...

    Rapidement, le côté intimidant de la Corvette fait place à un sentiment de confiance sur la route. Les appréhensions s’envolent et laissent place à l’extase. Ne reste qu’à s’habituer à la visibilité exécrable et aux gigantesques angles morts.

     

    L’américaine la plus italienne

    Soyons clair, la Corvette n’aura jamais le prestige d’une Ferrari ou d’une Maserati. Elle a beau être puissante et magnifique, mais pour le commun des mortels, ça demeure une Chevrolet.

    Sauf que la septième génération de la Corvette, celle qu’on nous vend depuis 2014, ressemble davantage à une voiture exotique qu’à une bagnole américaine. Cachez le logo, et bien des gens pourraient jurer qu’il s’agit d’une italienne. Et ça pourrait aller encore plus loin.

     

    Depuis un bout de temps, de persistantes rumeurs laissent entendre que la prochaine génération de la Corvette pourrait changer de configuration et adopter une motorisation à position centrale. Il s’agirait d’une révolution dans l’histoire de la Corvette, dont la mécanique a toujours été placée à l’avant.

    Avec un moteur placé entre ses deux essieux, la Corvette pourrait réellement devenir une réelle menace aux coupés exotiques de ce monde. À suivre...

    En attendant, la Corvette demeure une voiture qui attire tout de même les regards. C’est inévitable. Des pouces en l’air aux regards envieux, il ne faut pas avoir peur de l’attention quand on roule dans un tel véhicule.

    Mais ça, les vrais amateurs de Corvette s’en soucient peu. Ce qu’ils recherchent avant tout, c’est un bolide de performances à un prix honnête. Et ça, Chevrolet l’a très bien compris.

     

     

    Fiche technique

    Nom: Chevrolet Corvette Grand Sport 2017
    Prix de base: 78 645$
    Prix du modèle à l’essai: 114 615$
    Configuration : Véhicule à roues motrices arrière avec motorisation à l’avant
    Mécanique de base: Moteur V8 de 6,2 litres
    Puissance/couple: 460 ch/ 465 lb-pi
    Transmission : Manuelle à 7 rapports ou automatique à 8 rapports
    0-96 km/h: 3,6 secondes
    Consommation d’essence annoncée: 11,8 L/100 km (ville) 8,2 L/100 km (route)
    Garantie de base : 3 ans/60 000 km

     

    Chevrolet Corvette Grand Sport 2017

     

    Chevrolet Corvette Grand Sport 2017

     

    Chevrolet Corvette Grand Sport 2017

     

    Chevrolet Corvette Grand Sport 2017

     

    Chevrolet Corvette Grand Sport 2017

     

    Chevrolet Corvette Grand Sport 2017

     

    Chevrolet Corvette Grand Sport 2017

     

    Chevrolet Corvette Grand Sport 2017

  • LA REMPLAÇANTE DE LA BUGATTI CHIRON SERA HYBRIDE

    • Le samedi, 22 juillet 2017
    • Dans Bugatti

    Bugatti a annoncé que la remplaçante de la Chiron sera électrifiée.

     

    Bugatti Chiron 2017

    Bugatti

    Bugatti a annoncé que la remplaçante de la Chiron sera électrifiée. 

     

    Comme Ferrari, McLaren et Porsche avec leur LaFerrari, P1 et 918 Spyder, Bugatti envisage sérieusement la motorisation hybride pour son prochain supercar. C’est ce que le réputé site Internet britannique Autocar nous apprend. 

     

    Pour Wolfgang Dürheimer, PDG de Bugatti, seule l’électricité peut améliorer les performances de l’actuelle Chiron. Rappelons que son W16 de 8,0 L, agrémenté de quatre turbos, développe 1500 chevaux-vapeur et 1180 livres-pieds de couple. 2,5 secondes suffisent pour atteindre 100 km/h. 

     

     

     

    Avec la Chiron, on aurait donc atteint une forme de sommet difficile à dépasser. On estime que de jumeler un moteur à essence et un moteur électrique permettrait d’élever à nouveau les standards. Pour le moment, on affirme toutefois ne pas être rendu à l’étape d’un supercar 100% électrique. 

     

    Le PDG de la marque a tenu à spécifier que la remplaçante de la Chiron est encore loin d’être prête. Jusqu’à présent, on a exploré la motorisation hybride. 

     

    Il a également précisé qu’il était ouvert à l’idée d’ajouter un second modèle à la gamme Bugatti. Si tel était le cas, il faudrait attendre jusqu’en 2024 avant qu’il voit le jour et jusqu’en 2032 pour assister à l’arrivée de la remplaçante de la Chiron. 

     

     

     

    Bugatti Chiron 2017

    Bugatti

    Bugatti Chiron 2017

    Bugatti

  • Scion FRS 2013 une primeur Autonet

    • Le jeudi, 10 mai 2012
    • Dans toyota
    Scion FRS 2013, une primeur Autonet

    Plus de photos

    Photos par -Autonet.ca
    JACQUES DESHAIES
    Publié: 06 12 2011

    L’exaltation selon Toyota

    Mont Fuji,Japon. Après plusieurs années d’absence dans le segment des voitures sportives, Toyota fait un retour remarqué. Et nous avons eu le privilège d’être les premiers à prendre le volant de la fameuse Toyota FT-86 sur le circuit d’essai du Fuji Speedway au pied du célèbre mont du même nom. Mais ne cherchez pas la dénomination FT-86 au catalogue de Toyota. C’est sous la bannière Scion que la petite sportive sera commercialisée en Amérique du Nord. Elle portera le nom de FRS pour « front engine, rear wheel drive et sport ».

    Il faut se souvenir de la belle période où le constructeur japonais offrait les Celica et Supra puis la très agile MR2. Ces trois sportives ont disparu depuis plusieurs années. Avec l’arrivée de la 86, les rumeurs reprennent de plus belle quant au retour de l’une d’elles. La plus persistante demeure le retour de la Supra. De plus, l’introduction d’un petit roadster serait toujours dans les plans. On verra bien! Ce qui est sûr, c’est que la Scion FRS va donner le ton. Notre essai nous a convaincus que le plaisir est de retour dans les couloirs de Toyota.

    Silhouette convaincante

    Au premier contact visuel, la FRS annonce déjà ses couleurs quant à son caractère sportif. Le capot plongeant se termine dans un bouclier agressif, particulièrement dans la version équipée des éléments de bas de caisse. La grille est placée dans la partie inférieure du bouclier et est entourée des phares antibrouillard et des feux de stationnement. Les phares sont stylisés et parfaitement moulés dans les pourtours d’ailes bien galbés qui logent des roues de 17 pouces.

    Quant à la partie arrière, c’est un peu la même chose. Les ailes annoncent un porte à faux très court complété par des feux parfaitement intégrés qui surmontent un diffuseur qui abrite les deux sorties d’échappement. Noter le feu de recul et de freinage logés au centre à la base de ce diffuseur. Ce genre d’élément se retrouve habituellement sur des voitures exotiques de haut niveau.

    Son habitacle n’offre rien d’extravagant. Le tableau de bord est dépouillé et rappelle la vocation de la voiture. Dépouillés, seuls les cadrans importants occupent toute la place. Compte-tours et odomètre situés dans la nacelle centrale derrière le volant tandis que la partie du centre loge la climatisation et la chaîne audio. C’est tout! Sans ébahir la galerie, il demeure simple et facile à consulter. Il rappelle d’ailleurs celui de la Porsche Boxer à ces débuts. Les matériaux sont de belle qualité et l’assemblage digne des autres produits de la marque. Il faut cependant concéder quelques imperfections à ces prototypes qui ne sont destinés qu’à la casse en fin de vie.

    Association historique

    La Scion FRS est issue d’une association historique entre le géant japonais et le constructeur Subaru. Si la voiture a été conçue au département de recherche et développement de Toyota, sa motorisation provient, à la base, de chez Subaru. La FRS est équipée d’un quatre cylindres à plat développé chez Subaru. Subaru utilise cette configuration moteur depuis des lunes pour tous ces modèles.

    Profitant de cette technologie, la FRS est équipée d’un moteur de 1 998 cc qui propose une puissance de 200 ch à 7 000 tr/min. Son couple s’élève à 151 lb-pi. Le tout est complété par une boîte manuelle ou automatique à 6 rapports. Autre particularité de cette voiture, c’est une propulsion. Voilà une configuration auquel nous sommes peu habitués avec Toyota. Les ingénieurs ont travaillé fort en ajoutant l’injection directe au quatre cylindres à plat. De plus, ils l’ont positionné tout prêt de la paroi coupe-feu afin de maximiser l’équilibre de la voiture. Le résultat est étonnant.

    La FRS est tellement amusante à conduire que les organisateurs avaient peine à m’y déloger. Son équilibre est parfait. Elle est prévisible et facile à piloter tout en offrant le plaisir de contrôler une propulsion en plein dérapage. Parions sur l’intérêt des amateurs de tuning et de course automobile. De plus, l’échappement offre une sonorité hors du commun qui n’a rien à voir avec le roucoulement habituel du moteur Boxster.

    Si mon opinion sur les autres modèles Scion n’a pas changé sauf pour la iQ qui vient tout juste d’arriver, La FRS vient me réconcilier avec la marque. Cette sportive est promise à un brillant avenir.

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  • Jeep Wrangler par Vilner : tuning tout terrain !

    • Le jeudi, 05 avril 2012
    • Dans tuning

    Le préparateur bulgare se saisit de la dernière tendance à la mode pour se jauger à son tour sur le Jeep Wrangler.

    Préparation Tuning

    Le microcosme du tuning reste en constante évolution. Ces derniers temps, la tendance se veut plutôt aux préparations un peu plus spécifiques sur des modèles improbables. C’est ainsi que Mopar a lancé les hostilités sur le Jeep Wrangler, ce qui a fait des émules chez son camarade Vilner. Le tuner bulgare s’empare donc du bébé et propose sa vision des choses sur le bolide tout terrain. Pour rendre le Jeep Wrangler encore plus attractif, la firme s’attaque à l’habitacle et opte pour un tableau de bord, sièges,panneaux de portes ornés de cuir en y ajoutant un zeste de chrome.

    Mais comme Vilner ne pratique jamais dans la demi-mesure, ce dernier apporte sa touche personnelle également sur la carrosserie avec des feux LED sur le pare-chocs avant et des rétroviseurs chromés tout comme les poignées de portes. Les jantes reçoivent un traitement similaire avec en plus, une finition mat. Voilà un projet qui méritait bien toute l’attention du site référence…

    Galerie photos Jeep Wrangler par Vilner

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  • KIA SOUL 2012

    • Le samedi, 17 mars 2012
    • Dans KIA

    Du « power» urbain

    Après presque trois ans… je l’aime toujours, le Kia Soul! Et encore plus depuis les toutes dernières améliorations qui lui ont été attitrées. Il ne faut pas s’attendre à un changement radical après seulement une demi-génération de vie, mais le petit « oumph » de plus côté puissance est assurément le bienvenu. Son look et sa personnalité reste pratiquement les même, toujours aussi jeune, urbain et « funky », mais c’est très bien ainsi, parce que la SOUL, on l’aime comme ça!

    Toujours aussi design, depuis 2009

    C’est vrai que son apparence ne semble pas avoir été modifiée, il faut presque une loupe... C’est donc toujours un multisegment compact avec une ligne de toit élevée, assez haut pour une excellente visibilité, du rangement, tout à la bonne hauteur, parfait pour cinq passagers, et ce, avec un style qui ne passe pas inaperçu!

    Ses lignes « attrape l’œil » ont été légèrement remaniées pour encore plus de « jeunesse ». Puis, sur la planche à dessin, les pare-chocs et phares avant et arrière et les rétroviseurs ont été retouchés, ces derniers sont plus puissants et les feux à DEL sont disponibles. La touche de raffinement ajoutée se termine avec de belles roues de 18 po. offertes en option. Seulement le modèle 4U Burner a des améliorations marquées au niveau des phares (projectifs et à DEL) en plus d’un aileron arrière.

    Pour tous les goûts, jusqu’au disco…

    Encore une fois, les améliorations ne sont que peu visibles, mais l’habitacle a été modernisé au niveau de l’insonorisation, du confort, et pour 2012, certaines caractéristiques comme une colonne de direction télescopique, l’aide au démarrage en pente (HAC) et un système de gestion de la stabilité (VSM) ont été ajouté de série. Aussi, un rafraichissement côté console et pommeau du levier de vitesse. Rien à redire…

    Pas moins de sept versions sont offertes en 2012, soit 1,6, 1,6 ECO, 2U, 4U, 4U Retro, 4U Burner et 4U Luxe. Comme il est courant chez Kia, les modèles de base sont assez bien équipés. Pour 16 595 $, le modèle 1,6 a donc la connectivité Bluetooth, les commandes audio montées au volant, sièges avant chauffants, glaces électriques teintées, rétroviseurs chauffants, compartiment de rangement sous le plancher et le système audio AM/FM/CD/MP3 intègre les prises AUX et USB. Parmi les autres versions, certaines sont plus spécifiques à la personnalité de chacun, par exemple le 4U Retro (23 495 $) a des vitres solaires et est offert dans les teintes de beige et noir.

    Ou encore la grande classe avec le 4U Luxe (25 395 $) qui offre des sièges en cuir, système de navigation, démarrage avec bouton-poussoir et climatisation automatique. Quant au 1,6 ECO (19 995 $), il est doté du système Active Eco pour une conduite «verte» maximisée. Les gens qui aimaient l’ambiance disco de la première version seront heureux d’apprendre que les couleurs sont toujours propulsées au son de la musique, partout dans l’habitacle. Enfin, le système d’infodivertissement UVO intégrant la caméra de marche arrière ainsi qu’un système audio Infinity de huit haut-parleurs peut être ajouté en option. Malheureusement, UVO n’est pas, pour le moment, compatible avec la navigation.

    GDI - ISG

    La Soul, on l’aimait déjà, mais j’avoue que côté mécanique, elle manquait de « power». Vœux exaucés, les ingénieurs de Kia ont apporté des améliorations au groupe motopropulseur, ce qui ajoute un peu de piquant à la conduite. D’abord, deux motorisations sont offertes, soit le nouveau moteur GDI de 1,6 L ou de 2,0 L Nu. Le premier offre 138 ch. (16 ch. de plus que le modèle précédent) et le second développe 164 ch. (22 ch.de plus).

    Jumelées à cela, ce sont aussi de nouvelles transmissions de six vitesses (merci, terminées les quatre vitesses) pour le mode manuelle et aussi l’option automatique. Mis ensemble, c’est une joyeuse consommation d’essence améliorée à 7,0 L/100 km en ville et 5,4 L/100 km sur l'autoroute (2,0 L : 7,9 L en ville et 5,8 L/100 km sur l'autoroute). Et sa tenue de route est toujours aussi agréable.

    Déjà intégré à la nouvelle Kia Rio 2012, le système ISG (Idle Stop and Go) saura aussi faire profiter les adeptes de la Soul, en option, au courant des prochains mois. Il s’agit en fait d’un système qui coupe le moteur lorsque le véhicule roule à 5 km/h et moins et aussitôt le frein relâché, redémarre automatiquement. Ceci aide à l’économie de carburant et à la réduction d’émissions.

    Pour les futurs acheteurs, je vous conseille de bien identifier vos besoins avant de vous rendre chez le concessionnaire. Avec tous ces modèles, ça peut vite devenir mêlant en plus que certaines options peuvent en amener d’autres que vous ignoriez. Par exemple, les versions 1,6 (boîte automatique) offrent aussi la climatisation de série. Le 1,6 ECO offre des jantes de 16 po et la radio satellite. La Soul 2U de 2,0 L a droit à des longerons de toit, un filet à bagages et des haut-parleurs d'aigus à l'avant. Le 4U ajoute des jantes de 18 po, un toit ouvrant et du cuir au volant ainsi que sur le pommeau de levier de vitesse.

    Elle sort de l’ordinaire, a un look jeune et urbain, est maintenant plus économe et plus puissante, oui je l’aime toujours la Soul, et je ne suis pas la seule… Et la nouvelle 2012 est déjà arrivée chez nous.

    Suivez-moi sur Twitter @Proracing21010

    Sommaire:

    Véhicule d'essai
    Kia Soul 2u 2012
    Prix du modèle à l'essai
    18 995 $
    échelle de prix
    16 595 $ à 25 395 $
    Consommation affichée
    7,0 L/100 en ville et 5,4 L/100 km sur l'autoroute.
    Concurrence générale
    Toyota Matrix, Suzuki SX4-4, Nissan Cube

    Pour

    Contre

    • - Style , Équipement de base , Nouveau moteur plus puissant
    • - Si UVO, pas de navigation, L'équipement devient mêlant avec les 7 modèles, L'ambiance disco?!

    2012-kia-soul.jpg

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  • Volvo veut affronter les MINI et les GTI

    • Le samedi, 17 mars 2012
    • Dans Volvo

    PHOENIX, Ariz. – Le Volvo C30 R-Design 2012 ajoute une petite giclée de performance à toute la gamme des C-30 – de la version de base au plus haut de gamme.

    Je me souviens quand la C30 est d’abord apparue; elle faisait soulever les sourcils de doute quant à son design de petit hatchback et sa minuscule taille. La réaction immédiate des spécialistes a été de penser que Volvo se lançait à l’attaque des Mini et VW GTI de ce monde.

    Voir les versions disponibles de la Volvo C30 2012

    Il semble que l’on ait bien visé puisque autant en terme de style, de performance, d’attitude et de sécurité, la R-Design a frappé dans le mille.

    Le grand changement dans le style de la C30 est venu l’an dernier avec des modifications radicales des parties avant et arrière, affichant une allure plus en courbe et plus aérodynamique, sans en changer le sex appeal.

    Ce qui change en 2012, c’est que Volvo a ajouté les versions Premier Plus et Platinum, alors que tous les modèles disponibles sont désormais offerts avec l’ajout R-Design.

    La carrosserie toute en courbes avec son ensemble aérodynamique est solidement assis sur des roues en alliage de 18 pouces. Ainsi outillée, la C30 R-Design semble toujours prête à s’élancer.

    À l’intérieur, je regarde des cadrans R-Design partout sur la planche de bord, j’entoure mes mains autour d’un volant gainé de cuir R-Design, et installe mes pieds sur un pédalier R-Design. Et tout cela est définitivement parfait.

    Volvo a augmenté le facteur « Cool » en ajoutant la connexion audio en ligne à la technologie Bluetooth. Grâce au système Pandora ou Grooveshark, le conducteur peut désormais créer sa propre liste et la synchroniser avec son téléphone cellulaire compatible.

    La version Premium Plus inclut un toit ouvrant en verre, des sièges avant à réglages électriques et de nouvelles lumières DEL.

    Les amateurs de gadgets opteront plutôt pour la version Platinum qui ajoute un système de son de 650 watts, dix haut-parleurs, en plus d’un système de navigation qui vous permet de vous retrouver en toute sécurité.

    Quelques options individuelles sont aussi offertes, notamment la climatisation haut de gamme, le détecteur d’angle mort et cinq différentes couleurs métalliques de carrosserie.

    Sous le capot se retrouve un moteur 2.5 litres turbo de cinq cylindres acoquiné soit à une boite de vitesse manuelle à 6 rapports ou à une boite 5 vitesses automatique avec mode Sportshift. Le moteur développe ainsi 227 chevaux et 236 livres-pied de couple sur les roues avant… avec le plus grand enthousiasme.

    Le petit rebelle est la définition même du plaisir de conduite. Le seule côté négatif à ses performances, selon moi, c’est une certaine tendance à ressentir un effet de couple dans le volant; pas assez pour nous déconcentrer mais certainement assez pour le ressentir.

    Le petite bolid est maniable, voire grisant en conduite.

    La C30 a une voie avant et arrière plutôt large, et un empattement assez long pour sa taille générale, ce qui contribue à sa stabilité et à son comportement routier prévisible. La suspension – McPhersoon à l’avant et multibras à l’arrière – fournit une randonnée confortable et douce, tout en ne compromettant pas du tout la sensation de contrôle total.

    L’ensemble R-Design est évidemment conçu pour une conduite plus sportive et dynamique. Les ressorts sont 30% plus rigides que la C30 de base, alors que les amortisseurs monotubes accumulent la pression et la relâche plus rapidement pour un débattement plus complet, même à basse vitesse. Le ratio de la direction est 10% plus rapide, ce que l’on ressent aisément quand on tente des manœuvres rapides gauche/droite.

    Routes glacées ou non, le conducteur ne sera pas en difficulté non plus; la C30 offre de série le contrôle de stabilité et le contrôle de traction.

    Et si jamais les choses se gâtaient, vous pourrez toujours vous rassurer en vous disant que vous Roulez dans un cocon de sécurité signé Volvo, composé notamment d’une structure avant conçue pour se déformer à un rythme et de façon différente si jamais la collision s’approche trop de la cabine. Le système utilise quatre types d’acier de résistance différente, un modèle aussi utilisé à l’arrière pour protéger les occupants en cas de collision.

    Suivez-moi sur Twitter @Proracing2010

    Sommaire:

    Véhicule d'essai
    Volvo C30 2012
    échelle de prix
    $30,995-$44,000
    Frais transport
    $1,095
    Consommation affichée
    10.1 L/100km (ville) 6.6 L/100km (autoroute)
    Garantie de base
    4 ans/80,000 km
    Concurrence générale
    Mini Cooper; Volkswagen Golf GTI

    Pour

    Contre

    • - design
    • - puissance
    • - maniabilité
    • - accès difficile aux places arrière
    • - un peu d'effet de couple
    • - prix

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  • Top 10 des plus grandes rivalités automobiles

    • Le mercredi, 14 mars 2012
    • Dans rivale

    Aussi forte que Canadiens-Nordiques?

    1) Ford Mustang vs Chevrolet Camaro

    Ceci n’est pas juste une rivalité, c’est LA plus grande rivalité automobile à jamais. Rien n’a jamais été en mesure de battre la rivalité et les discussions enflammées entre un amateur de la Mustang et un amateur de la Camaro. L’un et l’autre peuvent affirmer que la popularité respective des modèles est due à leur style rétro, mais surtout à leurs exceptionnelles performances. D’un cas comme dans l’autre, c’est une rivalité qui est loin d’être sur le point de finir. En fait, c’est une guerre permanente.

     Voir le Top 10 des options dispendieuses

    2) Subaru WRX STi vs Mitsubishi Lancer Evolution

    Il semble bien qu’à chaque fois que l’une ou l’autre de ces voitures s’améliore, l’autre réplique aussi rapidement que l’éclair. Que ce soit un nouveau moteur, plus de puissance ou encore plus de style, les deux se tirent des flèches à bout portant. Le débat à savoir laquelle des deux est la meilleure existe depuis des années, et peu importe à quelle partie vous posez la question, ils ont chacun leurs meilleurs arguments et aucun n’est en mesure de donner une réponse sans être biaisé.

    3) Mercedes-Benz AMG vs BMW 'M'

    On pourrait facilement mettre une longue liste de comparative entre tous les produits allemands de luxe, que l’on reviendrait toujours à cette première compétition, AMG ou M. Cette bataille particulière implique deux légendes de la haute performance et de la meilleure ingénierie allemande.

    4) Dodge Ram vs Ford F-150

    Peu de gens vont argumenter sur la popularité des modèles américains par rapport aux modèles japonais. Mais quand vient le temps de départager les américains Ram et F-150, qui gagne? Ça c’est une autre histoire. Comme la STi et l’ÉVO, c’est une bataille en aller-retour à chaque renouvellement, l’un reprend la couronne avant de la perdre au renouvellement de l’autre. Malgré le temps qui passe, il est toujours difficile de dire qui est le meilleur. C’est une histoire de truck et de cœur.

    5) Chevrolet Corvette vs Dodge Viper

    Quelle est la meilleure voiture sport américaine? La question se pose depuis 1992 avec l’arrivée de la Dodge Viper, qui soudainement venait jouer dans le royaume de la Corvette. Royaume qu’elle conservait bien seule depuis des décennies. Mais qui est la meilleure? C’est toujours une question de goût entre le raffinement de la Corvette ou la brutalité de la Viper. Quoi qu'il en soit, toutes deux sont d’exceptionnels monstres de performances comme seuls les Américains peuvent le faire. De la puissance brute sans filet.

    6) Toyota Camry vs Ford Taurus

    Peut-être pas la rivalité la plus à la mode, mais il n’en demeure pas moins qu’en 1986, lors de l’introduction de la Taurus, notre perception du véhicule familial changea du tout au tout. Cette perception continua d’évoluer avec la prise du trône des ventes par la Camry quelques années plus tard. La Taurus fut la reine incontestée durant 4 ans avant que la Camry ne lui vole la couronne à partir de 1997, titre qu’elle conserva pratiquement toujours depuis.

    7) Ferrari vs Lamborghini

    Ici, nous avons la guerre des voitures ultraperformantes, une rivalité née à cause d’un seul homme : Ferruccio Lamborghini. Ce dernier, insatisfait de sa Ferrari, décida de lancer sa propre gamme de voitures à son goût. Depuis, la rivalité n’a cessé de croître d’une manière tellement passionnée qu’aucune autre comparaison ne peut être faite. Il est certain que dans cette sphère, il n’y a pas vraiment de perdant, car la possession d’une de ces voitures est une victoire en soi.

    8) BMW 7-Series vs Mercedes-Benz S-Class

    Quand vient le temps de parler de berline de grand luxe, deux voitures viennent instinctivement sur le sujet, les BMW Série 7 et Mercedes-Benz Classe S. Donc laquelle est la meilleure? La réponse est simple, peu importe laquelle des deux est la plus récente. Quoique malgré leur nouveauté, le choix peut quand même être difficile. Quoi qu’il en soit, il est certain que la Benz au chapitre des ventes monopolise près de 60 % du marché total dans la catégorie.

    9) Porsche 911 vs Audi R8

    Probablement la rivalité la plus récente dans cette liste, alors qu’ Audi n’a même pas eu la prétention de dire que sa R8 visait directement la 911. Elles adoptent des styles complètement différents, mais elle offre toutes deux des performances exaltantes et parmi les meilleures expériences de conduite. Voilà donc une autre rivalité bien assumée entre deux constructeurs allemands, qui ne sont pourtant pas si loin l’un de l’autre.

    10) Toyota Corolla vs Honda Civic

    Plusieurs acheteurs ne sont peut-être pas conscients qu’ils sont au cœur de l’un des plus agressives rivalités sur le marché. Les deux, la Corolla et la Civic sont reconnues pour être extrêmement fiables et économiques, et ce, depuis leur mise en marché respective. Pourtant aujourd’hui, l’offre en voitures compactes n’a jamais été aussi élevée, mais ces deux divas demeurent encore et toujours les plus évidentes dans la catégorie.

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  • Match comparatif entre le RAM 2500 et le Ford F-250

    • Le mercredi, 14 mars 2012
    • Dans rivale

    Le Sud-Ouest américain

    Pour travailler, pour son utilité ou simplement parce qu’on aime son look et sa prestance, nombreux sont les amateurs de camions. Comme dans tout, certaines marques sont privilégiées par les consommateurs et la tendance semble s’imposer davantage pour ce type de véhicule. « Rien d’autre qu’un Ford n’entrera dans ma cour » ou « Si ce n’est pas un RAM je n’en veux pas » sont des affirmations fréquentes. Est-ce une question d’identité ou de savoir-faire du camion? C’est ce qu’on a voulu savoir en mettant côte à côte un RAM 2500 2012 et un Ford F-250 2012.

    Voir les versions disponibles de la RAM 2500 2012

    Question de style

    L’apparence, qu’on le veuille ou non, joue un rôle important. Dans les deux cas, la calandre est proéminente, tout de chrome et joue un rôle identitaire d’importance. (Bien que le comparatif ait été effectué avec le modèle XLT de chez Ford, les caractéristiques prises en considération concernent le King Ranch par mesure d’équivalence.) Avec leurs cabines doubles et une boîte d’environ huit pieds, c’est long et long longtemps. Pour les stationnements bondés, on repassera, même que deux espace est nécessaire, et c’est également moins beau... Dans la catégorie « esthétique extérieur », le Ford a obtenu une note sans reproche. Mais, le RAM n’est pas loin derrière.

    Voir les versions disponibles de la Ford F-250 2012

    Le Sud-ouest américain

    Orientation en provenance du Sud-ouest américain, ces camions, que ce soit Laramie Longhorn chez RAM ou Kinch Ranch chez Ford, ils sont parfaits pour toutes les âmes country. Le RAM reflète même légèrement cette tendance à l’extérieur, avec ses couleurs terres deux tons. Du mélange de ces couleurs aux petits détails ajoutés ici et là (tableau de bord, cadrans, sièges…), le style Longhorn peut ne pas plaire à tout le monde. Ford ne donne pas sa place non plus avec son style King Ranch 100 % « ranch » et ses couleurs rougeâtre encore plus vives que le premier. À l’intérieur du RAM, la finition est sans reproche, de même pour l’ergonomie et la facilité d’utilisation de ses commandes. Aussi, les nombreux espaces de rangement sont très appréciés. Chez Ford, l’on retrouve un habitacle moderne, luxueux et évidemment, il regorge de nombreuses fonctionnalités et gadgets. Le système SYNC est donc évidemment de la partie. De même qu’à l’extérieur, où Ford offre un marchepied à hayon assisté pour facilité l’accès à la caisse et une rallonge de plateau escamotable, puis des coffres latéraux et Rambox ont été bien appréciés chez RAM. Il est aussi intéressant de noter qu’un VTT entre dans la caisse du RAM avec une grande facilité.

    Confortables autant chez l’un que chez l’autre, les sièges sont garnis de cuir, au même titre que le volant, sont réglables avec des commandes électriques et obtiennent presque une note parfaite. Comme matériaux, les garnitures de similibois et de cuir font très bonnes impressions. Bien que le tableau de bord du Ford ait gardé une touche plus neutre, le volant et les sièges sont de la même couleur rougeâtre, et c’est très contrastant avec le beige et le gris. Je préfère de loin le RAM, une opinion que Steeve, qui a fait l’essai avec moi, partage plus ou moins.

    Cependant, du côté de RAM, la suspension fait baisser sa moyenne. Lorsque la boîte du RAM est vide, on sent une séparation qui se fait entre cette dernière et la cabine. C’est plus mouvementé à l’intérieur de ce dernier. À ce niveau, Ford obtient une meilleure note par rapport à la qualité d’assemblage et à la robustesse. Dans les deux cas, la visibilité est bonne, outre la distance du parechoc du Ford, qui rend la vue moins évidente à l’avant.

    Des diesels au menu

    Au niveau de la motorisation, chez RAM c’est le Cummins turbo diesel de 6,7 litres (V8 Hemi de 5,7 L à essence disponible) tandis que chez Ford c’est le Powerstroke également de 6,7 litres (V6 de 6,2 litres à essence disponible). Dans les deux cas c’est un couple de 800 lb-pi et RAM offre 350 ch. tandis que Ford 50 de plus (400 ch.). Les accélérations sont rapides même si ce sont des camions et le bruit des moteurs diesel est acceptable (Ford moins bruyant), et moins pire qu’il y a quelques années. La grosse différence entre les deux réside dans la consommation d’essence. Ces derniers temps, Ford apporte sur le marché des moteurs vraiment révolutionnaires, dont l’Ecoboost, et il faut dire que le moteur diesel du F-250 l’est aussi. En effectuant le même trajet, dans les mêmes conditions, le Ford a obtenu une moyenne de 14 L/100 km pendant que le RAM 2500 faisait aux alentours de 18,0 L/100 km. La différence entre les deux est étonnante et est assurément un avantage sur le RAM et aussi sur tous les autres camions sur le marché.

    Le Ford est légèrement plus long (263 pouces) comparé au RAM (259,4 po), de même que pour la hauteur (79,8 po vs 66,4 po). Mais à l’œil, ils semblent pratiquement du même format. L’empattement est de 172,4 pour le Ford et de 168,9 pour le RAM. Pour ce qui est de la caisse, le Ford a encore des chiffres plus élevés avec 77,3 pi contre 74,7 pi. L’angle de rampe pour le RAM est de 18,3 degré vs 15 degré pour le Ford et dans le même ordre, l’angle d’attaque correspond à 18,1 degré et 20,6 degrés. De série, la capacité de remorquage se situe à 9 900 lb chez Ford et 9 600 lb chez RAM. Mais des attelages (en option) peuvent être ajoutés pour augmenter la capacité à environ 12 000 lb.

    Conclusion

    Autant l’un que l’autre est un excellent camion capable de travailler et de fournir confort et commodités. Ford, le plus grand vendeur de ce type de camion, met la barre haute aux compétiteurs entre autres avec une consommation d’essence exemplaire. Mais le RAM séduit par son habitacle sans reproches et sa conduite géniale. En termes de note attribuée, le Ford est légèrement en tête du classement. Mais au final, il ne reste qu’à analyser ses réels besoins et faire un choix qui pourra vraiment s’harmoniser avec son propriétaire. Alors, êtes-vous de type RAM ou plus le genre Ford?

    Merci à Ford Parr et Lecompte de Victoriaville, ainsi qu’à Steeve Villeneuv.

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    RÉSULATSESTHÉTIQUE

    RAM : 32/40

    FORD : 38/40

    ACCESSOIRES

    RAM : 42/50

    FORD : 47/50

    ESPACE ET ACCÈS

    RAM : 48/50

    FORD : 47/50

    CONFORT

    RAM : 37/40

    FORD : 38/40

    PERFORMANCE

    RAM : 33/40

    FORD : 35/40

    TOTAL

    RAM : 192/220

    FORD : 205/220

    SOMMAIRE

    PRIX À PARTIR DE

    RAM 2500: : 58 845$

    Ford F-250 : 55 099$

    (Mais le prix des options chez Ford est plus élevé)

    MOTEURS

    RAM 2500: : 6,7 litres Cummins Turbo diesel

    Ford F-250 : 6,7 litres – Turbo diesel

    PUISSANCE

    RAM 2500: : 350 ch.

    Ford F-250 : 400 ch.

    COUPLE LB/PI

    RAM 2500: : 800 lb-pi

    Ford F-250 : 800 lb-pi

    BOÎTE

    RAM 2500: : Automatique 6 vitesses

    Ford F-250 : Automatique 6 vitesses

    LONGUEUR HORS TOUT

    RAM 2500: : 259,4 po.

    Ford F-250 : 263 po.

    LONGUEUR HORS TOUT

    RAM 2500: : 168,9 po.

    Ford F-250 : 172,4 po.

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